Article final : point sur mon expérience IB

Je n'avais aucun moyen de faire IB. Je ne voulais pas le faire jusqu'en 2nd. Je n'avais pas un niveau d'anglais très haut, je n'aimais pas plus que ça les travaux de groupe, ni travailler hors des périodes scolaires. Pourtant, je n'ai aucun regret sur mon engagement auprès de ce double diplôme très exigeant.

En 1an 1/2 dans l'aventure IB, j'ai appris énormément de choses sur de nombreux plans et domaines :

• j'ai appris à enseigner à un élève étranger en maths,

• j'ai été pendant 2 ans porte-parole IB : je devais présenter l'IB à des jeunes et leurs parents qui ne connaissaient rien,

• j'ai réussit à parler devant un auditoire lors de mes concours d'éloquence,

• j'ai développé ma capacité d'écriture (oral, écrit...),

• j'ai aider les autres sous de nombreuses manières (écoute, associatifs...),

• j'ai commencer à m'entretenir physiquement,

• j'ai dirigé une équipe pendant 1 an,

• j'ai organisé pendant 1 an des projets et des rencontres pour faire vivre l'équipe journalisme,

• j'ai appris à écrire des Mémoires (français ou anglais) dans de multiples matières (économie, histoire, maths, biologie, français...),

• ...

L'IB m'a aussi aider à m'élever. Le fait d'écrire mes pensées lors de mes actions et de revenir après dessus m'a aidé à mieux me connaître et mieux m'adapter face à mes limites. J'ai rencontré des personnes que je n'aurais jamais connu autrement qui m'ont aidé à me faire grandir.

J'ai développé de nouvelles compétences demandées dans le supérieur et le professionnel :

• travail en équipe,

• autonomie,

• capacité d'apprentissage et de travail,

• anglais,

• mise en place de projets,

• management,

• ouverture d'esprit et de culture,

• ...

Bref, l'IB c'est dur : on travail d’arrache-pied lorsque les autres se reposent. Mais c'est aussi tellement enrichissant sur le plan intellectuel et social.

We can be proud of what we have done !